Je vois une femme qui a peur,
Serait-ce la peur du bonheur?
Le bonheur qui prend le dessus du deuil.
Je vois une petite fille qui veut grandir,
Et qui veut en finir,
Avec ces douloureux souvenirs.
Un an que tu m'as pris,
Pour finalement m'avoir trahis,
Mais aussi pour m'avoir ôter cette confiance,
A laquelle je tenais tant.
Tu disais m'aimer,
Mais cet amour à cesser d'exister
Au moment même où vos lèvres ce sont frôlées.
C'est triste, je sais,
Mais plus ma tristesse se terre,
Plus ma haine s'emplit.
Cependant, ma tendresse ne peut que demeurer.
Malgrès ces douloureux faits.
Cette petite fille qui désormais grandit,
Ne pourra que vivre avec ces douleurs,
Et devra à présent se méfier de cet étrange sentiment.
Il n'y a pas encore de femme,
Mais seulement une enfant,
Qui teste cette infâme de vie,
Pour s’écorcher un peu plus le cœur et pour faire taire ses envies.
Je commence à voir la lumière au bout du tunnel,
Celle qui de ma souffrance,
Me délivrera peut être,
Et enfin apaisera mon esprit.